Les infirmiers libéraux (IDEL) font face à une nomenclature de facturation complexe : la NGAP infirmier. La NGAP, ou Nomenclature Générale des Actes Professionnels, est la classification qui définit comment coter et facturer chaque soin infirmier de manière conventionnée. Pour un IDEL, savoir s’y retrouver dans cette nomenclature est indispensable afin d’assurer une facturation juste et une prise en charge par l’Assurance Maladie optimale.
La nomenclature générale des actes professionnels (NGAP) est le référentiel officiel qui regroupe l’ensemble des actes médicaux et paramédicaux réalisables en secteur libéral et remboursables par la Sécurité. Elle concerne plusieurs catégories de professionnels de santé : médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, auxiliaires médicaux (dont les infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, etc.).
Chaque acte de soins y est répertorié avec une désignation précise, un code associant une lettre-clé et un coefficient, et un tarif de base. Ce système permet d’uniformiser la facturation des soins tout en préservant le secret professionnel grâce à des codes plutôt qu’une description détaillée sur les feuilles de soins.
Pour les infirmiers libéraux, la NGAP constitue le socle de la facturation des soins infirmiers courants comme complexes. La partie de la NGAP dédiée aux actes infirmiers est identifiée comme le Titre XVI – Soins Infirmiers. Elle liste tous les actes que peut réaliser un IDEL, de l’injection la plus simple aux pansements les plus complexes, en passant par les prises de sang, perfusions, toilettes, surveillances, etc.
Naviguer dans cette nomenclature infirmière signifie comprendre comment sont classés les actes, comment les coter correctement, quelles règles s’appliquent en cas d’actes multiples et quelles modalités respecter pour une prise en charge conforme par l’Assurance Maladie.
La NGAP infirmière s’organise en deux grandes sections : d’une part les Dispositions Générales communes (règles de facturation, principes de cumul, définitions générales), et d’autre part la liste des actes infirmiers elle-même (classée par chapitres thématiques). Cette classification hiérarchique facilite la recherche du bon code en fonction du type de soin.
Il s’agit du chapitre introductif qui fixe les règles générales applicables à tous les actes de la nomenclature. On y trouve par exemple l’article 11 de la NGAP, fondamental pour les infirmiers, qui définit le principe de non-cumul des actes lors d’une même intervention (nous détaillerons ce point plus loin). Ces dispositions précisent également des conditions de réalisation (ex : nécessité d’une prescription médicale préalable pour tel acte), des définitions (notion d’acte unique, séance de soins, etc.), ou encore des règles de facturation particulières. Les dispositions générales servent de cadre commun aux différentes catégories d’actes infirmiers.
La nomenclature des soins infirmiers (Titre XVI) se subdivise en chapitres correspondant aux grandes catégories de soins. Chaque chapitre comprend plusieurs articles numérotés listant les actes avec leur désignation, leur coefficient et leur lettre-clé. Par exemple, le chapitre I – Soins de pratique courante regroupe les actes les plus fréquents (prélèvements sanguins, injections, pansements courants, etc.). Un chapitre II est consacré aux soins plus techniques ou spécialisés (par exemple les perfusions, les soins liés aux cathéters, la pose de sondes et d’alimentation, etc.). D’autres chapitres couvrent des domaines spécifiques : pansements lourds et complexes, soins d’accompagnement du patient diabétique, séances de surveillance clinique, etc. Enfin, un chapitre entier traite de la prise en charge des patients en situation de dépendance via les forfaits BSI (nous y revenons en détail). L’organisation en chapitres et articles permet de retrouver rapidement la liste des actes pertinente selon le contexte de soin.
Par ailleurs, la nomenclature comporte des règles sur la facturation des produits et dispositifs médicaux utilisés lors des soins : le petit matériel (compresses, gants, seringues, antiseptiques, etc.) est considéré comme faisant partie intégrante de l’acte et ne donne pas lieu à facturation séparée. On ne peut donc pas facturer en sus ces produits courants.
Seuls certains dispositifs onéreux ou très spécifiques peuvent faire l’objet d’un remboursement à part, généralement via des prestations dédiées ou des forfaits particuliers (par exemple la location d’une pompe pour nutrition entérale, un système de pansement par pression négative, etc., si un texte l’y autorise).
Notons que jusqu’en 2022, les soins infirmiers liés à la dépendance étaient cotés via des séances AIS (Actes Infirmiers de Soins) subordonnées à la réalisation d’une démarche de soins infirmiers préalable. La démarche de soins infirmiers (abrégée DI dans la nomenclature) correspond à l’élaboration d’un plan de soins personnalisé pour un patient dépendant, et était valorisée par un forfait unique de 10 €. Depuis l’entrée en vigueur du Bilan de Soins Infirmiers (BSI) généralisé, la démarche de soins classique tend à disparaître pour les patients dépendants au profit du BSI informatisé.
Néanmoins, le code DI figure toujours à la nomenclature (10 €) car l’élaboration d’une démarche de soins infirmiers reste exigée pour certains contextes (par exemple en début de prise en charge à domicile hors BSI). En pratique courante, c’est désormais le BSI qui sert d’outil d’évaluation et de planification des soins pour les patients dépendants.
Chaque acte infirmier dans la NGAP est identifié par un code combinant une lettre (ou sigle) et un coefficient numérique. La lettre, qu’on appelle lettre-clé, indique la catégorie de l’acte et correspond à une certaine valeur en euros par unité (valeur conventionnelle). Le coefficient est un nombre (entier ou parfois décimal) qui multiplie cette base pour donner le tarif total de l’acte. Comprendre ce système est essentiel pour lire la nomenclature et calculer le montant d’un soin.
En pratique, la désignation de l’acte dans la liste NGAP est tout aussi importante que le code : elle décrit précisément ce qui est inclus dans l’acte, ses éventuelles conditions de réalisation, voire des incompatibilités. Par exemple, un « Pansement de brûlure étendue > 5% surface corporelle » est coté 4 AMI, et la description mentionne qu’il comprend le nettoyage, l’éventuel méchage et qu’il ne peut pas être associé à la majoration de coordination infirmière (MCI).
Il faut donc toujours lire attentivement la note associée à la cotation. La NGAP est un document technique mais très détaillé : chaque code y est accompagné de commentaires sur les modalités de réalisation ou de facturation. En cas de doute, on peut s’y référer ou consulter les guides diffusés par l’Assurance Maladie.
Maîtriser la NGAP, ce n’est pas seulement connaître la liste des actes et leurs codes, c’est aussi respecter les règles encadrant la facturation lorsque plusieurs soins sont effectués lors d’une même intervention. Ces règles, fixées par les dispositions générales de la NGAP, visent à éviter qu’un soignant facture plein tarif plusieurs actes réalisés au même moment chez le même patient. Le principe central est énoncé à l’article 11 B de la NGAP et on le surnomme communément la règle du « 1 + 1/2 ».
Selon l’article 11 B des dispositions générales, lors de la même séance, un seul acte est cotable à 100% : celui ayant le coefficient le plus élevé. Un deuxième acte réalisé au cours de cette séance ne pourra être coté qu’à 50% de sa valeur. Quant aux éventuels actes supplémentaires (troisième, quatrième acte, etc.), ils ne sont pas facturables du tout. Autrement dit, au-delà de deux actes simultanés, les soins additionnels sont considérés comme inclus gracieusement dans le service.
En résumé, si un IDEL effectue plusieurs soins pendant une même visite chez un patient :
Prenons un exemple concret : vous réalisez lors d’un même passage un pansement lourd et complexe coté AMI 4 ainsi qu’une injection sous-cutanée (AMI 1). Le pansement (coeff. 4) est l’acte de coefficient le plus élevé, il sera noté AMI 4 (plein tarif). L’injection (coeff. 1) est le second acte : on la note à demi-tarif, soit AMI 0,5 (la moitié de 1). Au total, on facturera donc AMI 4 + AMI 0,5, correspondant par exemple à 12,60 € + 1,58 € = 14,18 € (si base AMI 3,15 €). Si, en plus, un troisième soin avait été fait (par exemple une prise de tension), celui-ci n’aurait pas été facturé du tout.
Cette règle du « un et demi » est impérative et tout infirmier libéral doit l’avoir en tête pour éviter les erreurs de cotation. En cas de facturation non conforme (par exemple deux actes comptés à 100%), la CPAM pourra réclamer un remboursement de l’indu ou rejeter la facture. Heureusement, il existe des exceptions et dérogations prévues dans la NGAP, que nous allons voir.
Certains actes ou prestations ne sont jamais soumis à décote, c’est-à-dire qu’ils se facturent toujours à taux plein même s’ils sont réalisés avec un autre soin lors de la même séance. La NGAP liste explicitement ces exceptions, dont il faut se souvenir :
En résumé, retenez que la plupart des actes infirmiers courants suivent la règle du « 1 + 0,5 », sauf quelques-uns expressément exclus de la décote. L’essentiel est d’identifier votre acte principal, et de demi-coter le second si besoin. Et si vous avez un doute sur une exception, vérifiez dans la nomenclature ou dans les fiches pratiques de cotation.
La prise en charge d’un patient dépendant à domicile obéit à des règles de cumul spécifiques. Lorsqu’un patient bénéficie d’un forfait BSI (BSA, BSB ou BSC), cela signifie que ses soins courants du quotidien (toilette, prévention d’escarres, aide à l’habillage, surveillance générale, etc.) sont couverts par ce forfait journalier facturé par l’infirmier. Toutefois, il peut arriver que, pendant la tournée chez ce patient, l’infirmier réalise en plus un acte technique ponctuel qui n’est pas inclus dans le forfait (par exemple : faire une injection sous-cutanée d’un traitement, effectuer une glycémie capillaire, etc.).
Dans ce cas, la NGAP prévoit que ces actes supplémentaires doivent être cotés en AMX (acte infirmier en contexte dépendance) et non en AMI, et surtout qu’ils subissent une décote automatique de 50%. Autrement dit, on applique à l’échelle d’un même patient dépendant la même philosophie « un acte principal plein tarif – actes suivants à moitié », sauf qu’ici l’acte principal est le forfait BSI lui-même. Ce forfait étant déjà facturé à taux plein, tout acte technique réalisé au cours du même soin de dépendance sera considéré comme « second acte » et donc rémunéré à 50%.
Exemple : vous intervenez chez Mme X, personne âgée dépendante classée en BSB (forfait 18,20 € par jour). Ce jour-là, en plus des soins d’hygiène et surveillance compris dans le forfait, vous réalisez une injection intramusculaire d’un antibiotique. Vous facturerez alors BSB (18,20 €) + AMX 0,5 (et non AMI 1) pour l’injection. Le AMX 0,5 correspond à l’injection IM 1 AMI décotée de moitié du fait du contexte.
Heureusement, certaines dérogations existent aussi dans le cadre du BSI : la NGAP liste les actes techniques qui, même réalisés chez un patient dépendant, peuvent être facturés à taux plein (cumulés en sus du forfait). C’est le cas notamment des soins particulièrement lourds, considérés comme sortant de l’ordinaire du forfait :
En dehors de ces exceptions, la règle générale reste : forfait BSI à 100% + actes AMX éventuels à 50%. Cette particularité du cumul en contexte de dépendance est souvent source de confusion pour les IDEL, surtout lors du passage aux nouveaux forfaits. Il faut bien penser à utiliser la lettre-clé AMX dès que l’on intervient chez un patient relevant du BSI, afin que le logiciel de facturation applique automatiquement la décote appropriée. Si vous utilisiez AMI par erreur, la CPAM considèrera que vous avez indûment facturé l’acte plein tarif en plus d’un forfait, et pourra émettre un rejet ou un indu.
Outre les actes eux-mêmes, la NGAP pour infirmier libéral prévoit divers compléments de facturation permettant de prendre en compte les contraintes particulières de certaines interventions à domicile. Il s’agit principalement des indemnités de déplacement et des majorations pour conditions spécifiques (horaire, coordination, etc.). Ces éléments, bien que listés séparément, font partie intégrante de la facturation pour un infirmier libéral et doivent être maîtrisés autant que les actes.
Lorsqu’un infirmier se déplace au domicile du patient, il a droit à une indemnité en sus des actes, pour couvrir le temps et les frais de déplacement. La NGAP distingue :
Les indemnités de déplacement sont cumulables avec tous les actes (y compris un BSI, des TLS, etc.), car elles rémunèrent un aspect logistique différent. Attention toutefois : on ne peut facturer qu’un seul IFD par tournée chez un même patient, même si on réalise plusieurs actes ou reste longtemps. Et en cas de tournée groupée (plusieurs patients au même endroit), des règles spécifiques s’appliquent (partage des indemnités, etc. selon les textes). Mais dans le cadre standard d’un patient unique, pensez systématiquement à ajouter l’IFD + les IK éventuelles en plus des actes.
Les majorations horaires viennent rémunérer la contrainte des soins réalisés aux heures atypiques. Il en existe deux principales :
Ces majorations horaires sont cumulatives entre elles et avec les actes : on peut très bien avoir à facturer un soin de nuit un dimanche, dans ce cas on additionnera la majoration de nuit et celle de dimanche. Elles se cumulent aussi avec la plupart des autres éléments de facturation (IFD/IK, MCI, etc.). À noter qu’on parle ici de majorations par passage : peu importe le nombre d’actes effectués, on ne compte qu’une majoration par visite, selon le créneau horaire.
La MCI est une majoration introduite pour valoriser la prise en charge particulièrement complexe de certains patients à domicile. Elle est fixée à 5,00 € par passage et s’applique dans deux grands cas de figure :
Dans ces situations, les soins nécessitent souvent une coordination avec le médecin traitant, une technicité et une disponibilité accrues. La NGAP permet alors d’ajouter 5 € à chaque déplacement concerné, pour reconnaître l’investissement du professionnel. Concrètement, la MCI est facturable une seule fois par intervention (même si vous faites plusieurs pansements complexes dans le même passage, il n’y a qu’une MCI). On la cumule avec les actes normalement (elle n’est pas soumise à la règle du cumul).
Exemple : si vous réalisez un pansement d’escarre complexe coté AMI 4 chez un patient, vous pourrez facturer en plus MCI 5 € ce jour-là, en plus de l’AMI 4 et des indemnités éventuelles. Par contre, la NGAP précise qu’on ne peut pas cumuler MCI avec la MAU (voir ci-dessous) sur un même passage : logique, puisque si un soin donne lieu à MCI, c’est qu’il est complexe et qu’il n’est déjà plus un « acte unique isolé ».
D’autres majorations spécifiques existent pour compenser certaines situations particulières :
À noter que la NGAP pour infirmiers en pratique avancée (IPA) a introduit une majoration équivalente pour les patients très âgés ou très jeunes appelée MIP (mais réservée aux actes IPA). La MIP est de 3,90 € pour la prise en charge de patients de moins de 7 ans ou de 80 ans et plus. Dans la pratique courante des IDEL non IPA, on ne l’utilise pas, on applique seulement MIE pour les enfants (et pas de majoration spécifique pour les 80+, sauf si entrée dans une autre catégorie de soins complexes).
En cumul, MAU et MIE peuvent s’additionner avec nuit/dimanche sans problème. En revanche, comme déjà mentionné, MAU et MCI s’excluent mutuellement (par définition, un acte avec MCI n’est pas « unique » et inversement un acte unique ne peut pas être un soin lourd nécessitant MCI).
En combinant correctement les actes, indemnités et majorations, l’IDEL peut ainsi coter précisément chaque situation de soin tout en respectant les règles de facturation imposées par l’Assurance Maladie.
Cela garantit une prise en charge optimale des soins par la Sécurité sociale et évite les litiges avec les caisses (rejets de factures, demandes de remboursements d’indus, etc.). Un dernier défi consiste à rester à jour sur les modifications de la NGAP, car celle-ci évolue régulièrement.
La nomenclature n’est pas figée : elle s’adapte aux progrès médicaux, aux nouveaux modes de prise en charge et aux négociations conventionnelles entre les infirmiers et l’Assurance Maladie. Il est crucial pour un professionnel de santé libéral de suivre ces évolutions pour appliquer les bonnes cotations au bon moment.
Les modifications de la NGAP passent généralement par des avenants à la convention nationale des infirmiers, conclus entre l’Union Nationale des Caisses d’Assurance Maladie (UNCAM) et les syndicats représentatifs des infirmières libérales (FNI, SNIIL, etc.), puis publiés au Journal Officiel (JO).
Ces dernières années ont été marquées par plusieurs avenants majeurs impactant la NGAP infirmier :
Pour rester informé, l’infirmier libéral dispose de plusieurs sources : les sites officiels (Ameli, Légifrance) publient les décisions UNCAM et les textes au Journal Officiel, les syndicats infirmiers diffusent des synthèses pratiques, et des plateformes spécialisées proposent des veilles réglementaires. Grâce à ces informations et à vos propres recherches, vous pourrez adapter vos pratiques de facturation. Chaque avenant est généralement accompagné d’une circulaire explicative de la CNAM précisant aux caisses primaires (CPAM) les modalités d’application.
Il est donc utile de lire ces circulaires ou FAQ, qui éclaircissent les cas particuliers éventuels suite à une modification de la nomenclature.
En mise en œuvre quotidienne, pensez toujours à vérifier la date d’effet des nouveaux tarifs ou nouvelles cotations avant de les utiliser. Par exemple, l’avenant 9 a été signé en 2022 mais ses mesures tarifaires ne se sont appliquées qu’à partir du 23 mars 2023, une fois le logiciel de facturation de l’Assurance Maladie mis à jour. De même, tenez à jour vos supports (applications de cotation, ouvrages NGAP) pour intégrer les évolutions récentes : nouveaux actes, nouvelles valeurs en euros, etc.
En résumé, la NGAP infirmière est un référentiel vivant. La liste des actes et les tarifs sont susceptibles d’être ajustés périodiquement par la convention. Gardez un œil sur le Journal Officiel, suivez les communications de votre ordre ou de vos associations professionnelles, et n’hésitez pas à participer à des formations de mise à jour NGAP. C’est ainsi que vous continuerez à coter au plus juste, en toute conformité, et à bénéficier des améliorations négociées grâce aux négociations professionnelles.
Malgré sa complexité, la NGAP infirmier est le quotidien de l’IDEL, et la liste des actes professionnels peut sembler un véritable labyrinthe, mais vous n’êtes pas obligé de l’affronter seul. Chez Cofidoc, nous mettons notre expertise au service des infirmiers pour simplifier la gestion de la nomenclature et de la facturation. Nous savons que votre priorité est la qualité des soins prodigués à vos patients ; c’est pourquoi nous nous chargeons de l’administratif et de la facturation, afin que vous puissiez vous concentrer sur votre pratique clinique en toute sérénité.
Concrètement, nous vous accompagnons avec nos services, dans la cotation de vos actes et le respect des dispositions générales de la NGAP au quotidien. Nos gestionnaires dédiés maîtrisent la nomenclature générale des actes professionnels sur le bout des doigts et sont constamment formés aux dernières mises à jour et avenants. Plus de doutes sur comment coter tel pansement complexe ou cumuler tels actes : nous vous apportons des réponses claires et fiables.
En confiant votre facturation à Cofidoc, vous avez l’assurance que chaque soin sera codé correctement, avec les bonnes majorations et indemnités, conformément aux règles de l’Assurance Maladie.
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